Chères Suissesses, chers Suisses,
Chers amis du patrimoine, de l’histoire et de l’esprit confédéré,
En cette fin d’année, alors que les lumières de Noël illuminent nos vallées et nos montagnes, je tiens à vous adresser, au nom de toute la Confrérie des Cent Suisses, mes vœux les plus chaleureux. Noël n’est pas seulement un moment de célébration ; c’est un temps d’unité, de mémoire et de transmission. Et dans notre pays, ces valeurs résonnent avec une force toute particulière.
Cette année, nous avons voulu rendre hommage à ce qui nous lie profondément : le Serment du Grütli, la force tranquille de Guillaume Tell, et l’esprit de responsabilité incarné par le Général Henri Dufour. Trois symboles, trois visages héroïques… mais un seul cœur : celui de la Suisse libre, solidaire et courageuse.
C’est dans cet esprit que j’ai composé les paroles de cette chason qui est animé par l’intelligence artificielle.
Et oui car il fait se rappeler du passé et le célébrer avec les nouvelles technologies de nos générations futures.
Cette chanson n’est pas seulement une œuvre artistique : c’est un message, un souffle, une invitation à contempler ce que nous avons reçu et ce que nous devons préserver. Mélange de tradition, de modernité et d’esthétique épique, elle rappelle que le courage d’hier qui doit inspirer les actes de demain.
En ces périodes des fêtes, je souhaite que chacun d’entre vous puisse trouver, dans cette musique et dans son message, une étincelle d’espérance, un moment de paix, une force renouvelée. Que les valeurs de fraternité, de respect et de détermination que nous portons depuis des siècles continuent d’éclairer notre chemin, comme le sapin illumine la nuit de Noé, même dans les temps incertains.
Que ce Noël et cette fin d’année soit pour vous et vos proches une source de joie profonde, de sérénité retrouvée et de gratitude partagée.
Puissions-nous entrer dans la nouvelle année avec la même résolution que nos ancêtres : rester unis, rester dignes, rester libre..
Au nom de toute l’équipe et des membres de notre Cercle je vous souhaite un Joyeux Noël et une année nouvelle riche en lumière, en courage et en fidélité à nos racines.
Vive la Suisse,
Vive le Serment,
Et joyeux Noël à tous !
Président du Cercle des Cent-suisses
Jean-Charles Martin
12 route de Colovrex
1218 Le Grand-Saconnex
Adresse E-mail: info@lescentsuisses.ch
Compte postal
16-327035-3
IBAN: CH70 0900 00001632 7035 3

Guillaume Tell (William Tell) est un film italo-britanniquo-suisse réalisé par Nick Hamm et sorti en 2024. Il s’agit d’une adaptation de la pièce du même nom de Friedrich Schiller et met en scène Guillaume Tell, héros légendaire des mythes fondateurs de la Suisse.
Guillaume Tell
Titre original William Tell
Réalisation Nick Hamm
Scénario Nick Hamm
Musique Steven Price
Pays de production Royaume-unis, Suisse, Italie
Genre action
Durée 133 minutes
Sortie 2025
Le Cercle des Cent-suisses est une institution d’utilité publique fédérale et cantonale dédiée à la préservation et à la transmission de l’histoire et de la culture suisse au temps celtique, médiévale et moderne.
L’organisation met en avant les valeurs culturelles et historiques suisses, tout en célébrant les traditions helvétiques. Elle propose des activités variées, telles que des conférences, des visites historiques (comme “Genève Secret”), et un Club de réflexions appelé MysterOm, qui explore des thèmes allant des civilisations anciennes aux mystères de notre monde.
Le Cercle des Cent-Suisses s’engage également dans des projets culturels et éducatifs, tout en cherchant à renforcer le devoir de mémoire face aux défis modernes. Il incarne un pont entre tradition et modernité, en valorisant l’identité suisse dans un monde en constante évolution.


« Dans les forêts profondes où murmurent les chênes, là où la brume danse sur les pierres levées, renaît l’enseignement oublié des anciens Druides… »
Un voyage au cœur des mythes celtiques
L’École des Druides ouvre ses portes comme dans les temps anciens, où bardes, vates, les druides et druidesses transmettaient leurs savoirs sous l’ombre sacrée des forêts.
Venez découvrir un univers où :
Les légendes celtiques prennent vie – des héros de la Table ronde aux mystères des Tuatha Dé Danann.
Les runes et oghams révèlent leur pouvoir caché, lettres-signes qui liaient les hommes au monde des dieux et des esprits.
Les symboles celtiques (triquetra, spirales, entrelacs) dévoilent leurs significations profondes, des cycles de la nature à l’éternité de l’âme.
Ateliers proposés
Mythes et légendes celtes : récits initiatiques et épopées mythologiques.
Création de runes : fabrication, gravure et interprétation des signes sacrés.
Symboles celtiques : apprentissage de leur langage ésotérique et artistique.
Une expérience initiatique
Ces ateliers ne sont pas seulement des cours, mais une immersion vivante dans l’héritage spirituel des Celtes.
Chaque participant devient à son tour un apprenti druide ou une apprentie druidesse, marchant sur les traces des anciens sages qui reliaient la Terre, les Hommes et le Divin.
Venez plongez-vous dans l’histoire-même de Genève et de ses secrets avec les Nibelungen, les Chevaliers Templiers et Hospitaliers, ou encore les confréries secrètes et leurs illustres membres.
Parcourez à travers la ville les sentiers initiatiques des symboles et de leurs mystère à la Da Vinci Code, avec Monsieur Jean-Charles Martin, enquêteur historique et Président du Cercle des Cent-Suisses.
Genève Secret est une visite passionnante qui vous fera découvrir Genève sous le prisme du mystère et d’une façon des plus originales, en groupe ou entre amis.
Alors si vous voulez percer les secrets de Genève, n’hésitez pas à réserver vos places pour cette visite palpitante et stupéfiante qui vous révélera ce qui n’aurait jamais du vous êtres révélé
Traduction en française d’après la traduction du Musée des Chartes fédérales à Schwitz.
Le Pacte fédéral suisse ou Pacte de 1291 fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Comme ce document date du début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août.Il s’agit d’un renouvellement d’une alliance à caractère juridique et défensive, conclu par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Ce pacte ne consacre donc nullement l’indépendance de la Confédération suisse qui continue de faire partie intégrante du Saint-Empire romain germanique, de fait jusqu’au Traité de Bâle en 1499 et de droit jusqu’au Traité de Westphalie.
Il fut redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724, mais aucune valeur fondatrice ne lui a été donnée avant la fin du XIXe siècle et l’apparition du nationalisme. Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760.
Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Les mythes fondateurs de la Suisse relatent divers événements associés aux épisodes de l’histoire de la Suisse ancienne.
La plupart des événements sont situés tout au début du XIVe siècle, comme le serment du Grütli, Guillaume Tell, la destruction des châteaux et Winkelried. Ils sont relatés, à partir de récits oraux, dès les XVe siècle et XVIe siècle dans des chroniques.
Le Pacte fédéral suisse, ou Pacte de 1291, fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Ce document étant daté de début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août date de la fête celte Lugnasadh.
Ce pacte renouvelle une alliance précédente, qui ne nous est pas parvenue, à caractère juridique et défensive, conclue par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Il fut oublié des siècles durant, pour être redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724.
Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760. Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le pacte fédéral est historique associé à la mémoire helvétique et au mythique Serment du Grütli.
Mais ceux-ci se sont produit à deux dates différentes !
La vraie histoire de Guillaume Tell, mise en scène par les recherches minutieuses du groupe d’enquêteur historique du Cercle des Cent-suisses.
Ses recherches donneront lieu à un ouvrage sur ce sujet !
Le mot paysan était-il une insulte des Habsbourg à l’encontre des Confédérés ?
Le serment du Grütli est-il un renouvellement de la Charte du 15 juillet 1291 et de notre Pacte fédéral d’août 1291 !
Et la révolte de nos Confédérés, à t’elle engendré l’assassinat de L’Empereur Albert 1er de Habsbourg le 1 mai 1308 ?
Il jure une alliance éternelle entre ses signataires contre tout agresseur. Il fut conclu par les représentants des trois cantons primitifs. La version originale est en latin.
Le pacte de 1291 enregistre un accord qui n’est pas le premier puisque le troisième paragraphe indique clairement qu’il s’agit du renouvellement d’un accord antérieur — le pacte originel est aujourd’hui perdu — dont on ne sait pas grand-chose, conclu quelque temps auparavant entre les mêmes trois cantons : « renouvelant par le présent traité le texte de l’ancien pacte ».
Le Pacte de Brunnen de 1315 semble ainsi être un renouvellement de celui de 1291 après l’épisode du serment du Grütli, du mythe fondateur de la Confédération et la fin de la bataille de Morgarten.
Le 15 novembre 1315 , victoire des Trois Cantons à Morgarten !
Le 15 novembre 1315, à Morgarten, au sud de Zurich, les montagnards des Trois Cantons (Uri, Schwyz et le demi-canton de Nidwald), repoussent les troupes du duc Léopold d’Autriche, seigneur de Habsbourg.
Quelques années après le célèbre serment de Grütli, la victoire de Morgarten renforce la cohésion des cantons alpins.
Elle leur rallie les cantons environnants et surtout les villes de Zurich, Bâle et Berne. Ces communes libres, bien que bourgeoises, font front commun contre les prétentions des Habsbourg.







En résumé, si nous voulons comprendre notre histoire, il nous faut impérativement connaître la naissance de notre Confédération.
En effet, pour de nombreux peuples du monde entier, la Suisse est le berceau de la démocratie libre et un exemple à suivre.
Et ceci même si notre histoire fondatrice peut être encore considérée par certains, comme un mythe…
Néanmoins, pour la majeure partie de notre population et du monde, cette histoire créatrice est le cœur même de la Suisse actuelle, c’est ainsi que notre Héro national Guillaume Tell devait devenir l’icône de la liberté démocratique et surtout notre meilleur ambassadeur dans le monde entier. Mais pourtant, ce personnage incontournable semble avoir été oublié dans nos régions, pour le plus grand malheur des nos touristes étrangers et de nos citoyens.
Nous sommes actuellement à la recherche d’un partenaire à même de nous fournir un lieu pour héberger notre projet en attendant une réalisation compète. Autorités cantonales ou communales, entreprises, fondations, mécènes, vous qui souhaitez faire vivre l’histoire suisse et êtes en mesure d’héberger pareil projet.


















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