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Venez plongez-vous dans l’histoire-même de Genève et de ses secrets avec les Nibelungen, les Chevaliers Templiers et Hospitaliers, ou encore les confréries secrètes et leurs illustres membres.
Parcourez à travers la ville les sentiers initiatiques des symboles et de leurs mystère à la Da Vinci Code, avec Monsieur Jean-Charles Martin, enquêteur historique et Président du Cercle des Cent-Suisses.
Genève Secret est une visite passionnante qui vous fera découvrir Genève sous le prisme du mystère et d’une façon des plus originales, en groupe ou entre amis.
Alors si vous voulez percer les secrets de Genève, n’hésitez pas à réserver vos places pour cette visite palpitante et stupéfiante qui vous révélera ce qui n’aurait jamais du vous êtres révélé
Le Cercle des Cent-suisses est une institution d’utilité publique fédérale et cantonale dédiée à la préservation et à la transmission de l’histoire et de la culture suisse au temps celtique, médiévale et moderne.
L’organisation met en avant les valeurs culturelles et historiques suisses, tout en célébrant les traditions helvétiques. Elle propose des activités variées, telles que des conférences, des visites historiques (comme “Genève Secret”), et un Club de réflexions appelé MysterOm, qui explore des thèmes allant des civilisations anciennes aux mystères de notre monde.
Le Cercle des Cent-Suisses s’engage également dans des projets culturels et éducatifs, tout en cherchant à renforcer le devoir de mémoire face aux défis modernes. Il incarne un pont entre tradition et modernité, en valorisant l’identité suisse dans un monde en constante évolution.
Les mythes fondateurs de la Suisse relatent divers événements associés aux épisodes de l’histoire de la Suisse ancienne.
La plupart des événements sont situés tout au début du XIVe siècle, comme le serment du Grütli, Guillaume Tell, la destruction des châteaux et Winkelried. Ils sont relatés, à partir de récits oraux, dès les XVe siècle et XVIe siècle dans des chroniques.
Traduction en française d’après la traduction du Musée des Chartes fédérales à Schwitz.
Le Pacte fédéral suisse ou Pacte de 1291 fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Comme ce document date du début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août.Il s’agit d’un renouvellement d’une alliance à caractère juridique et défensive, conclu par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Ce pacte ne consacre donc nullement l’indépendance de la Confédération suisse qui continue de faire partie intégrante du Saint-Empire romain germanique, de fait jusqu’au Traité de Bâle en 1499 et de droit jusqu’au Traité de Westphalie.
Il fut redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724, mais aucune valeur fondatrice ne lui a été donnée avant la fin du XIXe siècle et l’apparition du nationalisme. Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760.
Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le Pacte fédéral suisse, ou Pacte de 1291, fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Ce document étant daté de début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août date de la fête celte Lugnasadh.
Ce pacte renouvelle une alliance précédente, qui ne nous est pas parvenue, à caractère juridique et défensive, conclue par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Il fut oublié des siècles durant, pour être redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724.
Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760. Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le pacte fédéral est historique associé à la mémoire helvétique et au mythique Serment du Grütli.
Mais ceux-ci se sont produit à deux dates différentes !
La vraie histoire de Guillaume Tell, mise en scène par les recherches minutieuses du groupe d’enquêteur historique du Cercle des Cent-suisses.
Ses recherches donneront lieu à un ouvrage sur ce sujet !
Le mot paysan était-il une insulte des Habsbourg à l’encontre des Confédérés ?
Le serment du Grütli est-il un renouvellement de la Charte du 15 juillet 1291 et de notre Pacte fédéral d’août 1291 !
Et la révolte de nos Confédérés, à t’elle engendré l’assassinat de L’Empereur Albert 1er de Habsbourg le 1 mai 1308 ?
Il jure une alliance éternelle entre ses signataires contre tout agresseur. Il fut conclu par les représentants des trois cantons primitifs. La version originale est en latin.
Le pacte de 1291 enregistre un accord qui n’est pas le premier puisque le troisième paragraphe indique clairement qu’il s’agit du renouvellement d’un accord antérieur — le pacte originel est aujourd’hui perdu — dont on ne sait pas grand-chose, conclu quelque temps auparavant entre les mêmes trois cantons : « renouvelant par le présent traité le texte de l’ancien pacte ».
Le Pacte de Brunnen de 1315 semble ainsi être un renouvellement de celui de 1291 après l’épisode du serment du Grütli, du mythe fondateur de la Confédération et la fin de la bataille de Morgarten.
Venez visiter le site internet du C.E.R.T
qui est un groupe de chercheurs indépendants ayant pour thème l’ordre des Chevaliers Templiers.
Le 15 novembre 1315 , victoire des Trois Cantons à Morgarten !
Le 15 novembre 1315, à Morgarten, au sud de Zurich, les montagnards des Trois Cantons (Uri, Schwyz et le demi-canton de Nidwald), repoussent les troupes du duc Léopold d’Autriche, seigneur de Habsbourg.
Quelques années après le célèbre serment de Grütli, la victoire de Morgarten renforce la cohésion des cantons alpins.
Elle leur rallie les cantons environnants et surtout les villes de Zurich, Bâle et Berne. Ces communes libres, bien que bourgeoises, font front commun contre les prétentions des Habsbourg.
Des origines jusqu’au XIVe siècle
On ne connaît pas vraiment les origines de la croix suisse (appelée parfois croix fédérale) et les historiens se divisent sur plusieurs hypothèses. Certains pensent que ce symbole aurait pris naissance autour du IVe siècle où il aurait été vénéré dans les royaumes burgondes et qu’il aurait figuré sur les emblèmes de la Légion thébaine, massacrée à Saint-Maurice. On prétend d’ailleurs aujourd’hui que la croix figurant sur le blason de la ville tire son origine de cet évènement. Une autre version prétend que son origine remonte au XIIe siècle et qu’il figurait dans la bannière impériale du Saint-Empire. Certains expliquent que c’est le culte des instruments de la Passion, répandu dans la région, qui conduisit certains cantons de l’inclure sur leur bannière vers le XIIe siècle, le fond de couleur rouge faisant référence au sang du Christ. Les manuels scolaires indiquent que le drapeau et le nom du pays proviennent du canton de Schwytz, fondateur de la Suisse primitive en 1291 avec Uri et Unterwald. En revanche, ils n’expliquent pas l’origine de ce dernier.
En résumé, si nous voulons comprendre notre histoire, il nous faut impérativement connaître la naissance de notre Confédération.
En effet, pour de nombreux peuples du monde entier, la Suisse est le berceau de la démocratie libre et un exemple à suivre.
Et ceci même si notre histoire fondatrice peut être encore considérée par certains, comme un mythe…
Néanmoins, pour la majeure partie de notre population et du monde, cette histoire créatrice est le cœur même de la Suisse actuelle, c’est ainsi que notre Héro national Guillaume Tell devait devenir l’icône de la liberté démocratique et surtout notre meilleur ambassadeur dans le monde entier. Mais pourtant, ce personnage incontournable semble avoir été oublié dans nos régions, pour le plus grand malheur des nos touristes étrangers et de nos citoyens.
Nous sommes actuellement à la recherche d’un partenaire à même de nous fournir un lieu pour héberger notre projet en attendant une réalisation compète. Autorités cantonales ou communales, entreprises, fondations, mécènes, vous qui souhaitez faire vivre l’histoire suisse et êtes en mesure d’héberger pareil projet.
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