Le Cercle des Cent-Suisses se trouve être dotée d’un Club de réflexions appelé MysterOm. Ce groupe est composé de personnes dynamiques et engagées et passionnés par l’exploration des mystères et des connaissances qui ont façonné notre monde. Dans le cadre de ses activités, un espace de discussion et d’échange qui abordant une multitude de sujets fascinants a été créé.
Le MysterOm se consacre à l’étude de thèmes variés allant des civilisations anciennes en passant par des questions de société, des découvertes scientifiques et des explorations spirituelles. Chaque séance de réflexion est conçue pour encourager le dialogue, stimuler la curiosité et favoriser un apprentissage collectif.
L’objectif principal de ce club de réflexion est de partager des connaissances lors de manifestations ouvertes au public, afin de mieux connaître et explorer ces différents sujets d’intérêt. Nous croyons fermement que la compréhension des mystères de notre histoire et de notre univers peut enrichir notre vécu et éveiller notre sens critique.
Au travers des conférences, des débats et des ateliers, le Cercle de Réflexion du MysterOm invite chacun à participer activement et à contribuer à une quête de savoir. Nous sommes convaincus que la diversité des opinions et des expertises est une richesse, et nous encourageons tous ceux qui s’intéressent à ces thématiques à se joindre à nous pour échanger et explorer ensemble.
Rejoignez-nous dans cette aventure passionnante et enrichissante, où chaque contribution compte et où le partage des connaissances est au cœur de notre démarche !
Nous avons une nouvelle excitante à partager avec vous !
Le Cercle des Cent-Suisses a le plaisir d’annoncer sa participation à la chasse au trésor organisée par le Puy du Fou !
Cette aventure unique nous plongera dans un monde de légendes et de mystères, où le trésor à découvrir n’est autre quel’épée mythique Exkalibur, d’une valeur incroyable de 250 000 euros !
Rejoignez-nous pour cette quête palpitante qui allie esprit d’équipe, réflexion et passion pour l’histoire.
Le Cercle des Cent-Suisses est ravi d’avoir organisé le salon MysterOm, dédié aux personnes désirant s’instruire culturellement et historiquement. Malgré une affluence faible due à des événements sportifs et musicaux concurrents, nous avons vécu des moments exceptionnels lors de conférences, de partages et de rencontres insolites. Nous sommes fiers d’avoir pu contribuer à l’éveil de certains participants. Suite à cette manifestation, nous avons créé le MysterOm Club, réservé exclusivement aux initiés et aux invités, qui proposera des conférences, des ateliers, des stages ou des voyages. Cette expérience nous rappelle une fois de plus que la véritable richesse culturelle réside dans le partage des connaissances avec des esprits toujoursen quête de savoir.
12 route de Colovrex
1218 Le Grand-Saconnex
Téléphone : 022.548.12.91
Adresse E-mail: info@lescentsuisses.ch
Compte postal
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La Suisse, terre de montagnes majestueuses et de traditions anciennes, a une histoire riche et complexe qui s’étend à travers les âges.
Depuis des siècles, ce petit pays au cœur de l’Europe a su préserver sa culture unique, sa neutralité et son identité forte malgré les vicissitudes de l’histoire.
Les Suisses, fiers de leur héritage, ont su préserver et transmettre leurs coutumes, leurs langues et leurs valeurs de génération en génération. Les traditions locales, comme la fête nationale du 1er août lié au mythefondateurde la Confédération, sont ancrées dans le quotidien des Suisses et témoignent d’un attachement profond à leur patrimoine culturel.
Pourtant, dans un monde de plus en plus marqué par le wokisme et la dilution des identités nationales, la Suisse se trouve confrontée à des défis nouveaux. La pression pour effacer les différences culturelles et minimiser l’importance du devoir de mémoire menace de rendre homogène ce qui est diversité, d’effacer ce qui est identité.
Il est essentiel de se rappeler que l’histoire et la culture suisses sont le fruit d’un passé tumultueux, marqué par la coopération entre différentes communautés linguistiques et la préservation d’une neutralité bienveillante. Les Suisses ont su tirer des leçons de leur histoire et des conflits qui ont secoué l’Europe pour construire un avenir basé sur la paix, la tolérance et le respect mutuel.
Ainsi, en regardant en arrière tout en avançant vers l’avenir, la Suisse incarne la capacité à préserver son identité tout en s’ouvrant au monde, à préserver son histoire tout en se projetant vers l’avenir. C’est dans cette harmonie entre tradition et modernité que réside la véritable force et la véritable beauté de la Suisse, un pays où le devoir de mémoire reste ancré dans le présent pour éclairer le chemin vers l’avenir.
Président Jean-Charles Martin
Le cercle des Cent-suisses, se veut perpétuer l’histoire et la culture suisse. En effet, nos aïeux ont été les précurseurs de notre histoire actuelle. Ils ont été sollicités dans le monde entier, pour mettre à profit leurs prestations de qualités diverses et variées. Depuis le Moyen Âge les soldats suisses ont été engagés pour leurs techniques militaires avant-gardistes. Ils servirent plusieurs nations, dont le royaume de France, où ils purent accéder en l’an 1481, au rang de garde rapprochée du roi de France.Ses soldats au service de l’étranger étaient nommés les Cent- suisses. Ils servirent les rois de France jusqu’en 1792 sous la Révolution française. Ceux qui survécurent furent exécutés ou destitués de leurs fonctions, devenus aux yeux des révolutionnaires les défenseurs de la monarchie abolie. Ils seront rappelés en 1816 par le nouveau roi de France, puis seront définitivement licenciés en 1831 au profit de la nouvelle Légion étrangère créée par Louis-Philippe. N’oublions pas non plus, notre garde pontificale qui prit naissance en 1506 après le sac de Rome, qui était composée de mercenaires suisses, et qui constituait elle aussi une garde rapprochée au profit du Saint-Père(Le Pape). Cette dernière est, à l’heure actuelle, toujours engagée au service du Vatican. Elle est composée de soldats de l’armée suisse. A travers les époques, notre histoire suisse n’a cessé d’être présente. En effet, les Suisses étaient des hommes respectés, tant par leur honneur quepar leur fidélité et leurs savoir-faire.Le Cercle des Cent-suisses a été créé dans le but de faire revivre à nouveau toute cette mémoire historique, afin de préserver nos traditions et notre culture helvétique.
Venez plongez-vous dans l’histoire-même de Genève et de ses secrets avec les Nibelungen, les Chevaliers Templiers et Hospitaliers, ou encore les confréries secrètes et leurs illustres membres.
Parcourez à travers la ville les sentiers initiatiques des symboles et de leurs mystère à la Da Vinci Code, avec Monsieur Jean-Charles Martin, enquêteur historique et Président du Cercle des Cent-Suisses.
Genève Secret est une visite passionnante qui vous fera découvrir Genève sous le prisme du mystère et d’une façon des plus originales, en groupe ou entre amis.
Alors si vous voulez percer les secrets de Genève, n’hésitez pas à réserver vos places pour cette visite palpitante et stupéfiante qui vous révélera ce qui n’aurait jamais du vous êtres révélé
La Confédération Helvétique, ou la Suisse moderne, a une histoire complexe. Son mythe fondateur remonte à la légende de Guillaume Tell, un symbole de la résistance à l’oppression. Cependant, les recherches historiques modernes suggèrent que cette histoire emblématique pourrait être plus une légende qu’un fait historique avéré. Les origines de la Confédération sont souvent associées au Pacte fédéral de 1291, où aux trois cantons suisses qui ont scellé une alliance pour défendre leurs intérêts communs. Les historiens continuent d’étudier les multiples facettes de cette période pour mieux comprendre les racines et le développement de la Suisse en tant qu’entité politique et culturelle distincte.
Alors, venez découvrir une enquête hors du commun en compagnie de Jean-Charles Martin Président du Cercle des Cent-suisses qui vous révélera si l’histoire fondatrice de la Suisse est un mythe, une légende ou une réalité.
Les mythes fondateurs de la Suisse relatent divers événements associés aux épisodes de l’histoire de la Suisse ancienne.
La plupart des événements sont situés tout au début du XIVe siècle, comme le serment du Grütli, Guillaume Tell, la destruction des châteaux et Winkelried. Ils sont relatés, à partir de récits oraux, dès les XVe siècle et XVIe siècle dans des chroniques.
Traduction en française d’après la traduction du Musée des Chartes fédérales à Schwitz.
Le Pacte fédéral suisse ou Pacte de 1291 fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Comme ce document date du début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août.Il s’agit d’un renouvellement d’une alliance à caractère juridique et défensive, conclu par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Ce pacte ne consacre donc nullement l’indépendance de la Confédération suisse qui continue de faire partie intégrante du Saint-Empire romain germanique, de fait jusqu’au Traité de Bâle en 1499 et de droit jusqu’au Traité de Westphalie.
Il fut redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724, mais aucune valeur fondatrice ne lui a été donnée avant la fin du XIXe siècle et l’apparition du nationalisme. Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760.
Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le Pacte fédéral suisse, ou Pacte de 1291, fut choisi en 1891 comme pacte fondateur de la Suisse. Ce document étant daté de début août 1291 (la date exacte est inconnue), la fête nationale suisse a été placée symboliquement le 1er août date de la fête celte Lugnasadh.
Ce pacte renouvelle une alliance précédente, qui ne nous est pas parvenue, à caractère juridique et défensive, conclue par les représentants des trois cantons primitifs : Uri, Schwytz et Nidwald.
Il fut oublié des siècles durant, pour être redécouvert dans la tour des archives de Schwyz lors d’un inventaire effectué en 1724.
Johann Heinrich Gleser publia sa version latine originale en 1760. Sur les trois exemplaires originaux, seul celui de Schwyz a survécu, et est conservé actuellement au musée des chartes fédérales à Schwytz.
Le pacte fédéral est historique associé à la mémoire helvétique et au mythique Serment du Grütli.
Mais ceux-ci se sont produit à deux dates différentes !
La vraie histoire de Guillaume Tell, mise en scène par les recherches minutieuses du groupe d’enquêteur historique du Cercle des Cent-suisses.
Ses recherches donneront lieu à un ouvrage sur ce sujet !
Le mot paysan était-il une insulte des Habsbourg à l’encontre des Confédérés ?
Le serment du Grütli est-il un renouvellement de la Charte du 15 juillet 1291 et de notre Pacte fédéral d’août 1291 !
Et la révolte de nos Confédérés, à t’elle engendré l’assassinat de L’Empereur Albert 1er de Habsbourg le 1 mai 1308 ?
Il jure une alliance éternelle entre ses signataires contre tout agresseur. Il fut conclu par les représentants des trois cantons primitifs. La version originale est en latin.
Le pacte de 1291 enregistre un accord qui n’est pas le premier puisque le troisième paragraphe indique clairement qu’il s’agit du renouvellement d’un accord antérieur — le pacte originel est aujourd’hui perdu — dont on ne sait pas grand-chose, conclu quelque temps auparavant entre les mêmes trois cantons : « renouvelant par le présent traité le texte de l’ancien pacte ».
Le Pacte de Brunnen de 1315 semble ainsi être un renouvellement de celui de 1291 après l’épisode du serment du Grütli, du mythe fondateur de la Confédération et la fin de la bataille de Morgarten.
Le 15 novembre 1315 , victoire des Trois Cantons à Morgarten !
Le 15 novembre 1315, à Morgarten, au sud de Zurich, les montagnards des Trois Cantons (Uri, Schwyz et le demi-canton de Nidwald), repoussent les troupes du duc Léopold d’Autriche, seigneur de Habsbourg.
Quelques années après le célèbre serment de Grütli, la victoire de Morgarten renforce la cohésion des cantons alpins.
Elle leur rallie les cantons environnants et surtout les villes de Zurich, Bâle et Berne. Ces communes libres, bien que bourgeoises, font front commun contre les prétentions des Habsbourg.
Des origines jusqu’au XIVe siècle
On ne connaît pas vraiment les origines de la croix suisse (appelée parfois croix fédérale) et les historiens se divisent sur plusieurs hypothèses. Certains pensent que ce symbole aurait pris naissance autour du IVe siècle où il aurait été vénéré dans les royaumes burgondes et qu’il aurait figuré sur les emblèmes de la Légion thébaine, massacrée à Saint-Maurice. On prétend d’ailleurs aujourd’hui que la croix figurant sur le blason de la ville tire son origine de cet évènement. Une autre version prétend que son origine remonte au XIIe siècle et qu’il figurait dans la bannière impériale du Saint-Empire. Certains expliquent que c’est le culte des instruments de la Passion, répandu dans la région, qui conduisit certains cantons de l’inclure sur leur bannière vers le XIIe siècle, le fond de couleur rouge faisant référence au sang du Christ. Les manuels scolaires indiquent que le drapeau et le nom du pays proviennent du canton de Schwytz, fondateur de la Suisse primitive en 1291 avec Uri et Unterwald. En revanche, ils n’expliquent pas l’origine de ce dernier.
En résumé, si nous voulons comprendre notre histoire, il nous faut impérativement connaître la naissance de notre Confédération.
En effet, pour de nombreux peuples du monde entier, la Suisse est le berceau de la démocratie libre et un exemple à suivre.
Et ceci même si notre histoire fondatrice peut être encore considérée par certains, comme un mythe…
Néanmoins, pour la majeure partie de notre population et du monde, cette histoire créatrice est le cœur même de la Suisse actuelle, c’est ainsi que notre Héro national Guillaume Tell devait devenir l’icône de la liberté démocratique et surtout notre meilleur ambassadeur dans le monde entier. Mais pourtant, ce personnage incontournable semble avoir été oublié dans nos régions, pour le plus grand malheur des nos touristes étrangers et de nos citoyens.
Nous sommes actuellement à la recherche d’un partenaire à même de nous fournir un lieu pour héberger notre projet en attendant une réalisation compète. Autorités cantonales ou communales, entreprises, fondations, mécènes, vous qui souhaitez faire vivre l’histoire suisse et êtes en mesure d’héberger pareil projet.
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